deception comportement marre d être trop gentille
Ladeuxième étape pour ne plus être trop gentil consiste à s’affirmer. Acceptez que vous êtes différent et défendez vos droits. Voici quelques actions précises à entreprendre dans ce but : Rédigez votre propre liste de droits inaliénables : ce
Parfoisje me dis qu'au contraire nous sommes peut-être trop sévères. Qu'il lui faut peut-être un cadre plus souple (pourtant on essaie vraiment de trouver le juste milieu, assez souple pour que sa personnalité puisse s'épanouir, pas trop pour laisser des règles strictes pour les choses importantes). Parfois je trouve LeTigre trop à cheval sur des choses vraiment pas
Ona beau avoir l'habitude, connaître les gens, se dire de ne rien attendre en retour ou encore tenter d'être un glaçon à l'intérieur, être gentille des fois oui ça fait mal. Et lorsque celle-ci amène à une déception, déconvenue ou encore une désillusion, ça marque.
Noussommes face à un état si défaitiste que la personne cesse simplement d’être responsable d’elle-même. Elle adopte le rôle de la victime et elle se laisse porter. Il est alors nécessaire de le deviner et de lui apporter des solutions pour l’aider, parce que même si ces comportements nous mettent mal à l’aise, nous sommes face à quelqu’un qui a besoin d’être aidé.
Enfévrier ça fera 2 ans que nous sommes plus ensemble, 2 ans que je suis mal, de 2ans que je pleure toute seule sans que personne sache ma tristesse et mon chagrin d’amour, j’ai pris 12 kilos, je suis dépressive, je pris Dieu de mappaiser le coeur, et je sais que le Seigneur est la et je demande pardon à Dieu d’être mal à ce point car j’aimerais être bien dans mon coeur et de
Site De Rencontre Gratuit Et Serieux Pour Seniors. Cessez d’être gentil en 4 questions J’ai toujours eu du mal avec ce proverbe Trop bon trop con ». J’ai longtemps associé la gentillesse à l’altruisme et l’empathie. Est-ce que ça existe d’être trop gentil » ? Eh bien ça dépend d’à qui vous rendez service. Mais ça dépend aussi du pourquoi vous le faites. En quoi être trop gentil » vous fait du tort ? Marre de vous faire avoir ?Êtes-vous vraiment concerné par l’excès de gentillesse ? Quoi qu’il en soit, vous n’arrivez pas à vous en dépêtrer. Peut-être aussi qu’en croyant rendre service ou faire plaisir, vous faites plus de mal que de bien. Je viens de jeter un pavé dans la marre. Désolé. Il fut un temps où l’on m’appelait le gentil. En effet, je péchais par excès de gentillesse. J’étais trop gentil. Difficile d’en prendre conscience à l’époque. Il a fallu me vexer pour m’en rendre compte. J’en veux pour preuve ce qui m’est arrivé un jour avec des personnes que je fréquentais toutes les semaines au théâtre. J’étais entouré de gens qui me connaissaient relativement bien et voilà que je joue la colère. Une colère à peine visible de mon point de vue. Pourtant, j’ai vu l’attention se focaliser sur moi et j’ai entendu il s’est mis en colère ». C’est alors que j’ai associé le trop gentil » avec le manque de personnalité. Personne n’avait prononcé ces mots, mais mon amour-propre venait d’en prendre un coup. J’en suis ainsi venu à m’intéresser à cette question peut-on être trop gentil ? ». La réponse est sans appel oui, c’est tout à fait possible, on peut être trop gentil. C’est quoi être trop gentil ? Quand on dit de quelqu’un qu’il est trop gentil, on pense parfois aux quelques profiteurs qui tournent autour de ces bons samaritains. On peut avoir de la pitié pour ces lorsqu’on est concerné directement par ce comportement excessif, qu’on se fait avoir et que la culpabilité nous ronge, on peut être tenté de s’adresser un Trop bon trop con, ça t’apprendra . C’est comme si en se traitant de trop con », on cherchait un moyen de ne plus jamais se retrouver dans une telle situation. Cela peut paraître, encore une fois excessif, mais le proverbe Trop bon trop con » souligne la responsabilité de celui qui rend service. Il n’est plus question donc des profiteurs qui rôdent et dont il faut se protéger. Il s’agit de comprendre pourquoi on est parfois, souvent ou toujours trop gentil ». C’est un trait de personnalité qui n’est pas si rare. Même s’il n’est pas toujours visible de prime abord, il est bien présent chez de nombreux professionnels de la relation d’aide, des personnels de santé entre autres. Quand il est présent au travail, il est rare que ce trait ne se manifeste pas dans le domaine privé familial, amical. On est trop gentil, trop bon trop con lorsque ce comportement, a priori louable, se retourne contre soi. Quelqu’un en profite au détriment du gentil a trop anticipé les besoins de quelqu’un et se fait rabrouer Vous retrouvez-vous davantage dans l’un ou l’autre des profils ? Il se pourrait que vous vous soyez retrouvé dans les deux. Mais, ne vous inquiétez pas. On peut tous s’en sortir de celle-là. Pourquoi est-on trop gentil ? On peut avoir différentes motivations pour mériter le sobriquet de trop gentil ». À cet instant même, j’en compte trois La peur de dire nonLa volonté de manipuler dans un but précisLe besoin de toujours faire plaisir attendez-vous quelque chose en retour ? Parmi ces trois motivations, je distingue aussi des sous-variantes. En effet, l’envie excessive de faire plaisir peut être passagère. Dans ce cas, elle est liée à une transition de vie. En revanche, si elle est ancrée dans votre comportement. Si vous ne vous souvenez pas avoir eu un autre comportement un jour, ce n’est pas la même histoire. Dans ce cas, vous devrez redoubler d’attention pour cesser d’être trop ce qui est de la peur de dire non, je retiens également ces deux variantes la passagère et la constante. On ne s’attardera pas sur la première motivation. Ceux qui sont concernés par celle-ci ne sont pas parmi mes lecteurs ou souffrent de tout autre chose. Revenons donc à nos moutons. Dans les quatre variantes restantes, il est possible de regrouper les raisons fondamentales et les circonstancielles. Les deux peuvent se traiter en coaching, mais ne requièrent pas du même timing. Les causes fondamentales sont souvent plus longues à résoudre, car les trop gentils » ont besoin de prendre conscience de leur mécanisme comportemental. Mérite-t-on le trop bon trop con ? Il s’agit d’une question qui ne a pas de sens pour tout le monde. En effet, inutile de vous attarder dessus si vous ne vous avez jamais prononcé ces mots en parlant de vous-même. En revanche, si vous avez senti ne serait-ce qu’une once d’inadéquation ou de culpabilité, continuez votre lecture… Vous vous êtes fait remettre à votre place récemment alors que vous croyiez bien faire ? C’est peut-être que quelqu’un a senti l’excès dans votre gentillesse. Vous avez aussi pu ressentir de la colère parce que vous êtes fait réellement avoir. Quelqu’un, un patron, un subordonné ou un simple collègue vous a fait miroiter une contrepartie contre vos bons services et vous attendez toujours qu’il honore sa parole. Le trop bon trop con est désagréable à entendre, mais parfois de bonne guerre. En effet, c’est le cas si vous attendez quelque chose en retour sans l’avoir explicité clairement. C’est également à juste titre, si vous avez du mal à dire non. Dans les deux cas, la vie » nous envoie une alerte qui nous signifie que notre action, bien que gentille, n’est pas juste. Pour une fois, la réponse est relativement simple. Plus jamais on ne dira, ou vous ne direz de vous, trop bon trop con en appliquant ces quelques conseils. Ne vous attendez pas à réussir du premier coup, mais si vous les appliquez, ils deviendront votre boussole dans les situations à risque. Ces quelques clés vous permettront de détecter les tentations d’un excès de gentillesse de votre part. Si malgré tout vous décidez de céder, rappelez-vous d’une chose. Vous ne devez attendre aucune contrepartie en retour sauf en cas d’accord explicite mutuel. Ai-je été sollicité ?Ai-je les compétences pour répondre à cette sollicitation ?Ai-je les moyens matériels d’y répondre ?Ai-je le temps ? Répondez toujours à ces quatre questions dans l’ordre proposé. Si vous répondez par la négative à l’une d’entre elles, renoncez à apporter de l’aide. Les risques que la situation se retourne contre vous sont importants. Celui qui a peur de dire non, c’est qu’il a reçu une demande. Il ne doit pas pour autant minimiser les réponses aux trois autres effet, comment peut-on apporter une aide sérieuse sans les compétences nécessaires ? Comment aider sans moyens matériels argent, outils… requis pour le faire ? Enfin, comment ne pas subir un retour de bâton sans disposer du temps indispensable ? On ne peut pas déshabiller Paul pour habiller Jacques. Les bénéfices à être moins gentil Contrairement à ce que vous pourriez vous attendre, vous ne serez pas moins apprécié de votre entourage. Au contraire, vous serez plus aimé en faisant preuve d’un certain respect de les bénéfices ne sont pas seulement d’ordre relationnel. Ils sont aussi d’ordre existentiel. Vous serez davantage estimé pour ce que vous êtes et non pas uniquement pour ce que vous faites pour les à tout hasard, les résultats se faisaient attendre, c’est que vous avez probablement à répondre à une autre question quel sens à ma vie si je ne peux plus apporter mon aide aux autres ?Vous aurez, au moins, plus de temps pour vous, ce qui au début pourrait vous angoisser. Vous pourrez vérifier deux choses Vous n’avez pas besoin de dire oui à tout pour rester en lien avec les autres. Vous n’avez pas besoin de chercher à faire plaisir pour être aimé. Si c’est le cas, c’est que vous êtes déjà avancé sur le chemin de l’assertivité. Dans ce cas, vous vivez vos relations aussi bien professionnelles que personnelles de façon détendue. Arrêter d’être trop gentil, c’est un chemin de croissance personnelle qui oblige à se confronter à ses propres peurs et à sortir de sa zone de confort. Vouloir aller trop vite, c’est se tirer une balle dans le pied. En effet, c’est le meilleur moyen de revenir à des comportements dont vous souhaitez sûrement vous défaire. Prenez votre temps et relisez cet article de temps en temps 🙂 C’est le bon moment pour vous et souhaitez améliorer vos compétences en management relationnel plus rapidement ? Vous pouvez réserver votre entretien de découverte offert en cliquant ici. tropbontropcon ?
L'époque La déception, passage obligé de nos vies idéalisées, naît de l’erreur d’appréciation, selon le psychologue clinicien Yves-Alexandre Thalmann. Aux Alors, heureux ? », les Alors, déçu ? ». Oui, déçu de l’issue d’un match de l’Euro 2016 qui anéantit l’espoir de voir son équipe couronnée ; déçu par l’échec à un examen scolaire qui compromet la perspective d’un cursus huilé ; déçu par cet entretien d’embauche qui n’a pas débouché sur l’emploi rêvé ; mais aussi déçu par une relation amicale, filiale ou amoureuse… Les occasions d’être déçu ne manquent pas dans nos quotidiens agités. La déception indique non seulement que je suis insatisfait, mais encore qu’il y a un écart entre les attentes que j’avais et ce qui s’est réellement passé », considère sur son site la psychologue Michelle Larivey, auteure de La Puissance des émotions Ed. de l’homme, 2002. En effet, dans la déception - une émotion qui s’inscrit dans le grand registre de la tristesse et donc en lien avec des situations de perte - il revient d’encaisser une perte par rapport à un idéal donné », convient Yves-Alexandre Thalmann. Comment ajuster au mieux nos erreurs d’appréciation » et nous prémunir de la déception, si tant est qu’il faille s’en garder ? Entretien avec le psychologue clinicien, professeur de psychologie en Suisse et auteur notamment de Je positive Ed. Jouvence, 2016. Faut-il et peut-on éviter la déception ? Tout un chacun s’attend à des choses qui ne viendront finalement pas. En psychologie positive, on considère notamment que certaines attitudes empêchent ou freinent la progression vers le chemin de la satisfaction. Ainsi, plus je mets la barre de mon idéal haute, plus je m’expose à la déception. On a tendance, à tort, à considérer que les émotions désagréables sont négatives. Pourtant, la peur n’est peut-être pas agréable à vivre mais elle me donne une indication indispensable à ma survie. Accepter ce cadeau qu’est la déception permet d’ajuster ses attentes. Il convient de fixer la barre un tout petit peu plus haut que notre objectif, pour viser le meilleur mais pas l’impossible. Ainsi, la phrase qui dit en substance Vise la lune, si tu la rates, tu seras au moins dans les étoiles » [Oscar Wilde] est contre-productive. La réalité, c’est qu’à force de rater la lune, on n’a même plus envie de regarder les étoiles car Qui monte plus haut qu’il ne fallait, tombe plus bas qu’il ne pensait », dit le dicton. La déception naît de l’erreur d’appréciation. En visant un objectif réalisable ou réaliste, si déception il y a, elle agit comme un moteur et est favorable à ma progression. Toute déception est-elle positive ? Comme la colère, la déception peut être constructive ou destructive. Si on a la chance d’avoir des parents qui nous ont éduqué à la déception, on peut commencer par les remercier. C’est le socle incontournable de toute éducation apprendre à ses enfants à gérer et tolérer la frustration, l’ennui et la déception. A l’échelle d’une vie, il y en aura des déceptions… on ne peut y échapper. Et, chacune est une occasion d’ajuster ce qui sépare nos désirs de la réalité. C’est en somme un travail de deuil plutôt que de fuir, je regarde les choses en face, je prends le recul nécessaire et je tente de comprendre pourquoi je suis dans cette situation et comment l’éviter à l’avenir. Je prends ainsi la leçon de ce qui m’est arrivé. Une alternative est de ne pas y faire face. On s’attribue dès lors l’entière responsabilité de la situation qu’on vit – notre discours mental, délétère, est de l’ordre du Je suis nul », Je n’y arriverai pas », Personne ne m’aime ». La déception est dans ce cas démotivante et démoralisatrice. Est-il utile de souligner qu’il faut y mettre du sien pour être… malheureux ? Il est essentiel d’accepter être déçu. Et même d’accepter de décevoir les autres, c’est-à-dire s’affirmer en sortant de l’idéal d’autrui. Du moment où je sais être déçu et le gérer, je n’ai aucune difficulté à envisager que l’autre puisse être déçu et sache à son tour gérer sa déception. Comment dépasser une déception ? On peut changer durablement, mais cela nécessite de le faire petit à petit… Apprendre à réajuster, c’est le travail de toute une vie. Le principe, on le connaît, mais le mettre en œuvre est une autre affaire. Se remettre d’une déception prend indéniablement du temps. Aujourd’hui, on pense à tort que chagrin et tristesse enrayent notre avancement autant la colère est mobilisatrice d’énergie – on va au front en quelque sorte –, autant la tristesse nous amène à nous retirer de la scène des événements pour digérer. Mais, dans notre société de l’immédiateté, il n’est pas de bon ton de se donner du temps. Et, en ne prenant pas le temps nécessaire pour digérer » cette déception, je n’en tire pas de leçon et vais me retrouver dans une situation similaire sous peu. En résumé, dépasser la déception, c’est la regarder en face, en tirer les leçons, se donner du temps pour l’intégrer positivement, l’idée n’étant pas de la contrer, mais de l’utiliser comme levier. La déception est une leçon de vie. Et cela passe par la réhabilitation de ses émotions. Elles ont un message à nous donner, pour peu qu’on les écoute. Marlène Duretz Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Bon, je ne suis pas du genre à pousser des coups de gueule sur le blog. En fait, je ne le fais jamais. J’ai toujours veillé à être respectueuse vis à vis des autres et, surtout, à ne jamais faire de vague. De peur, peut-être, de me retrouver engloutie dedans… Il y a certainement une certaine trouille à me taire ainsi. Mais pas seulement. Comme dit plus haut, c’est vraiment le respect qui m’a empêchée, bien souvent, de dire les choses comme je les ressentais. Mais vous savez quoi ? J’en ai marre ! Ouais, ce soir, j’en ai marre et ça me pèse. De la déception et une sorte de colère cohabitent dans mon cœur. Le mélange est si fort qu’il me donne même envie de jeter l’éponge. Parfois ça me décourage… Et ce soir c’est particulièrement fort et présent. Je me suis toujours battue contre l’injustice qui, malheureusement, a souvent été tournée vers moi quand j’étais gamine, quand j’étais ado… On s’est beaucoup moqué de moi trop gentille, trop timide, trop muette… et on m’a beaucoup blessée aussi. Aujourd’hui, parfois souvent même…, je retrouve ce sentiment de rejet et d’ignorance qui pesait sur moi. Soit on me montrait de l’hostilité, soit on m’ignorait complètement, me donnant l’impression de n’être rien, qu’une anecdote,… inexistante. Bref, ce que je veux dire, c’est que, bien souvent, j’ai à nouveau l’impression de n’être rien aux yeux de certains de beaucoup, d’être transparente, limite inexistante… Et ce, malgré les efforts que je fais chaque jour. Parce que, oui, aujourd’hui, je me bouge. Contrairement à avant, où je me contentais de subir. Vous vous demandez sans doute où je veux en venir ou, si ça se trouve, vous ne vous le demandez pas du tout… Depuis le début du mois de décembre, c’est la folie. Chaque jour, je vous propose un nouveau cadeau à remporter sur ma page Facebook. Des commentaires, j’en ai à tour de bras. Forcément, à la clé, il y a l’éventualité de gagner un truc. Je me suis décarcassée pour vous proposer tous ces lots. Parce que c’est un sacré boulot d’organiser des jeux comme ceux là. Il y a la mise en ligne, la préparation du visuel et puis aussi la désignation du gagnant. Mais avant il y a les négociations avec les marques… Et il faut gérer aussi le service après concours le SAC si vous voulez !. Envoyer les coordonnées des gagnants. Courir après ceux qui tardent à laisser leur adresse e-mail ou qui ne lisent pas bien ce qu’on leur a demandé au départ adresse postale, mail…. J’ai passé un temps de fou là dessus et ça va encore continuer jusqu’à Noël. Très sincèrement, je suis contente de vous permettre de gagner des trucs. C’est chouette mine de rien… Mais, au fond, je ne rencontre que très rarement de la gratitude. Pour certaines gagnantes, j’ai l’impression que c’est limite un dû et que je suis juste une machine à qui on donne des coordonnées postales pour recevoir un cadeau. Quand on me dit merci », vous n’imaginez pas à quel point ça me fait plaisir… C’est pourtant un acte qui devrait être automatique, normal et qui se révèle finalement si rare ! C’est con, non ?! Du coup, bah, parfois, je ressens une certaine lassitude. Je me demande à quoi ça sert de se décarcasser pour si peu »… Car vous savez, bien souvent, pour organiser ces jeux, je n’ai rien reçu en contrepartie. Le pire dans tout ça c’est que je ressens trop l’intérêt des participants. Moi je suis une grande idiote romantique qui s’imagine toujours que je vais tisser des liens de dingue avec des lectrices. Finalement, je crois que celles qui me suivent vraiment peuvent se compter sur les doigts des deux mains… Enfin, je parle de celles qui m’écrivent régulièrement des commentaires que ce soit sur Facebook ou sur le blog. Car côté commentaires, c’est le grand désert. C’est de plus en plus décourageant. Alors, je me dis que ce que j’écris devient vraiment nul et sans intérêt. Plus le temps passe et moins j’ai de commentaires sur le blogs. Pourtant j’ai fait des efforts pour vous faciliter la tâche en intégrant un nouveau module permettant de commenter via votre connexion Facebook. Ça vous évite de vous identifier à chaque fois, le truc relou. Avec ça, j’ai conservé le formulaire natif du blog pour ceux qui préfèrent la vieille » méthode. Mais bon, pour être franche, ça n’a pas changé grand chose. Aujourd’hui je me pose mille questions. Je me demande si je vous intéresse vraiment ou si je suis redevenue transparente comme durant mon adolescence. Peut-être que je n’aborde pas les bons sujets… Ou, si ça se trouve, je suis simplement à côté de la plaque. Dois-je continuer comme je le fais maintenant ou tout changer radicalement ? Ou, pire faire carrément le choix de tout cesser ! Les chiffres sont pourtant là pour me rassurer et me prouver que je me pose sans doute des questions pour rien. Mais, crotte, pourquoi vous êtes si peu à me dire ce que vous pensez de ce que j’écris ? Pour diversifier mon univers, j’ai créé et commencé à alimenter une chaîne Youtube Le temps passé à monter mes vidéos, certes imparfaites, est quand même assez important. Est-ce du temps perdu ? Est-ce que ça vaut le coup sincèrement ? C’est beaucoup d’énergie tout ça. Je ne compte même pas le temps passé à répondre aux nombreux mails que je reçois et encore moins ce temps considérable que je passe à organiser mon planning éditorial… Parce que là, en décembre, j’ai été tellement sollicitée de partout que j’ai eu bien du mal à tout faire entrer sur ce fichu planning. J’ai même été obligée de vous proposer deux articles par jour parfois alors que je déteste ça, pour tenir les délais. Le pire dans tout ça, c’est que j’ai l’impression que ça ne sert à rien. Je me suis mise la pression toute seule pour vous proposer du contenu que je pensais intéressant pour vous, pour zéro réaction ou presque. Et, avec le recul, je regrette d’avoir écrit ces articles… Là, tout de suite, je me dis que j’en ai marre d’œuvrer pour les autres en m’imaginant apporter des infos intéressantes… qui ne les intéresse pas en réalité. Je dis ça mais je pense que je suis un peu comme ma mère… Ce besoin de passer des messages qui sont comme des coups d’épée dans l’eau… il ferait mieux de nous passer ! Même si certains contenus sont clairement sponsorisés » je préfère en parler car je sais qu’on risque de me mettre ce sujet sous le nez, je n’accepte de vous parler que de sujets qui me semblent pertinents pour vous. Bien évidemment, je suis rémunérée pour ça mais les mots restent toujours les miens et je veille à ne jamais écrire des choses qui ne correspondent pas à mes principes. J’ai, maintes fois, refusé des contrats parce que les propos que je devais relayer allaient à l’encontre de mes idées. Et puis, clairement, certains étaient tellement éloignés de ma ligne éditoriale que je me suis demandée comment ils avaient pu avoir l’idée de me contacter, moi ! Je fini par croire que l’on a d’intérêt que pour la mode / beauté, pour les tout petits bébés… ou les concours ben ouais !. Le reste n’a sans doute aucun intérêt… Bref, parfois, je me demande si je ne fais pas tout ça pour rien… Je devrais peut-être cesser de me triturer le cerveau à tenter de vous parler de trucs qui pourraient vous intéresser et qui, en réalité, vous passe au dessus du cigare. L’effort de commentaire n’est-il valable que lorsqu’il y a un cadeau à la clé ? Commentaires Commentaires
Bonjour, Je me présente je m'appelle M. et j'ai 19 ans. Je suis étudiante. Je vous écris aujourd'hui car j'aimerais trouver des solutions, même de petites solutions pour me faire avancer. Mon problème est que dans ma vie je n'arrive pas à être moi-même, je ne SUIS pas moi-même. Je pense que tellement de paramètres rentrent en compte que je n'arriverai jamais à tout vous énumérer, mais j'espère trouver de l'aide parmis vous. C'est tellement compliqué à expliquer que mon discours risque d'être un peu décousu. Ma nature profonde est d'être quelqu'un de gentille, tolérante et généreuse. Le problème est que je me sens tellement mal dans ma peau, j'ai tellement cherché à plaire à tout le monde au risque de ne pas être moi-même, que je suis devenue quelqu'un de totalement contraire à mes propres valeurs. Et finalement ça ne plait à personne et je me sens terriblement vide et seule. Je suis arrivée à un tel point que lorsqu'une pensée ou une émotion me traverse, c'est tout l'inverse que j'exprime. Pour mieux me comprendre je vais vous donner un exemple. En ce moment je suis en stage, j'apprécie vraiment mes collègues de travail, ce sont vraiment des gens très bien. Je voudrais tellement qu'ils le ressentent et pouvoir vraiment faire partie de l'équipe. Mais je ne sais pas pourquoi, et sans que je le veuille, lorsque je m'exprime j'ai une certaine pointe d'arrogance dans la voix, c'est terrible car ce n'est absolument pas ce que je veux faire passer. J'aurais bien d'autres anecdotes comme celle-ci à vous raconter mais celle-ci reflète déjà bien ce que je suis ou ne suis pas c'est selon... Bref c'est vraiment terrible pour moi je voudrais tellement être la personne que je suis vraiment et changer de comportement, je ne sais pas comment faire... Je voudrais arrêter de paraître cette personne hautaine et arrogante à l'air inaccessible que je ne suis pas et enfin pouvoir m'épanouir dans mes relations sociales ! C'est dingue des fois j'ai vraiment l'impression d'entrer seulement dans l'adolescence alors que je baigne dans un monde adulte, bon je pense que mes parents ne m'y ont pas aidé depuis leur divorce ils n'ont jamais accordé d'importance à mes relations sociales, ça a toujours été un handicap et maintenant j'ai la sensation d'avoir de grosses lacunes, mais à un moment il faut arrêter de mettre la faute sur les autres il faut que je me bouge mais dans quel sens !! Merci à ceux qui auront lu mon roman, je compte vraiment sur vous pour m'aider merci beaucoup !!
Sommaire Comment définir une blessure de rejet ?Comment savoir si on souffre d’une blessure de rejet ?Comment guérir la blessure de rejet ?Comment définir une blessure de rejet ?J’ai toujours eu peur de ne pas être à la hauteur et d’être rejeté par les autres. La blessure de rejet est décrite, par Lise Bourbeau dans son livre “Les cinq blessures qui vous empêchent d'être soi-même”, comme un sentiment, fondé ou imaginaire, d’avoir été repoussée et non désirée par l’autre. 💔 À l’origine, ce sont donc nos sentiments qui subissent un choc émotionnel et il peut être plus ou moins forts suivant différents paramètres personnalité, âge, contexte…Néanmoins, ce qui caractérise la blessure de rejet, c’est la souffrance sur le long terme. On a l’impression de vivre des situations de rejet à répétition au quotidien. Bien sûr, lorsqu’on se dispute avec une personne que l’on aime et qu’on angoisse, on ne va pas se dire “ah tiens, c’est ma blessure de rejet qui s’active !”. La plupart du temps, elle reste refoulée et inconsciente et elle vient de notre aimerez 👉 Les 5 blessures de l'âme tout savoir pour ne plus raisons de ce sentimentJe sais que j’ai été un bébé surprise, je n’ai pas été attendue par mes parents. Si j’en parle, c’est parce que ça peut être l’une des causes de la blessure de rejet. Tout comme le fait d’être née fille alors que les parents voulaient un garçon ou inversement... Il y a tout un tas d’autres raisons, qui prennent place dans l’enfance 👶. Effectivement, c’est à ce moment-là qu’on va acquérir de la confiance en soi et qu’on va avoir un environnement social déterminant. Cependant, si l’enfant sent un rejet, conscient ou non, des parents, une faille émotionnelle va se créer.👉 La blessure de rejet a souvent un lien avec la phase où l’enfant prend conscience que sa mère et lui ne font pas qu’un, elle est appelée l’angoisse de facteurs qui renforcent la blessureOn ne vit pas toutes les blessures de l’enfance de la même manière. Certaines arrivent parfaitement à les maîtriser quand d’autres les refoulent. Si la cicatrisation ne parvient pas à se faire, c’est parce qu’il faut prendre en compte d’autres facteurs L’hypersensibilité si on est hypersensible ou qu’on présente des troubles violence si on a subi de la maltraitance ou de la négligence, en particulier pendant l’ récurrence si on vit plusieurs situations de rejet comme des ruptures amoureuses brutales, ou même degré d’affection s’il s’agit d’une figure d’attachement comme la mère ou le père, la famille ou une personne très proche, le sentiment de rejet sera vécu plus si on est pleinement investi par la relation, qu’elle occupe tout notre espace savoir si on souffre d’une blessure de rejet ?Deux types de comportements peuvent nous aider à comprendre si on souffre d’une blessure de fuite comme on est dans la peur de l’abandon et du rejet des autres, on aura tendance à fuir les relations sociales, peu importe la nature amoureuse, familiale, amicale, professionnelle, …. C’est un mécanisme de défense pour éviter de souffrir et par peur de l’échec d’une nouvelle manque de confiance en soi on est en remise en question permanente de qui on est. On a l’impression de ne pas être assez intéressante, gentille, drôle, etc. En plus de cela, on se sent plus facilement agressée par les autres, par leur propos ou leur comportement. On aura en plus tendance à penser qu’on est jamais appréciée sincèrement à cause de ce manque d’estime.➜ Conséquence ? On fera des actes d’auto-sabotage dans nos relations à cause de l’anticipation du rejet. Les autres passeront en premier, pour correspondre à leurs attentes, en s’oubliant soi. Sauf que d’autres problèmes peuvent découler de ce type de comportement, c’est en voulant éviter le rejet, qu’on va le subir.👉 Autosabotage fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauveComment guérir la blessure de rejet ?Malheureusement, on ne peut pas réellement guérir d’une blessure de rejet 😞. Il serait bien qu’on puisse avoir un bouton “effacer” quelque part en nous, pour retirer ce qui nous fait souffrir personnellement, il me serait très utile !. Néanmoins, que l’on se rassure, on peut apprendre à ne plus réagir de manière excessive à cette blessure émotionnelle, c’est ce que j’ai appris à à l’écoute de soiPour cela, il faut prendre conscience qu’elle existe et faire un travail d’introspection. L’analyse de soi permet de trouver les origines et le sens de la blessure, tout en accueillant les sentiments qui sont liés. Il faut être capable de se tourner vers son monde intérieur en écoutant, observant et en analysant ses émotions par rapport à une situation.➜ Par exemple 🧐 Une amie annule plusieurs fois des déjeuners avec nous. On doit arriver à comprendre ce que cela suscite en nous avant de lui en parler. On aura tendance à penser “elle annule parce qu’elle en a marre de moi”. Alors que la communication est la clé, la vraie raison se cache peut-être dans le fait que notre amie a des problèmes qu’arriver à comprendre ses émotions est un exercice plus facile à dire qu’à faire, surtout si on n’a jamais pris le temps de s’écouter 😳.S’entourer et en parlerEn effet, faire ce travail seule est complexe. Pendant longtemps je n’avais pas conscience de mes blessures intérieures, je n’avais pas l’ouverture d’esprit pour aller chercher les réponses au fond de moi. Voilà pourquoi il faut se faire consulter un accompagnement psychique est la meilleure façon de mieux vivre avec sa blessure de rejet. L’écoute et le non-jugement permettent de s’exprimer librement sur notre passé et nos ressentis. Cela permet d’entamer une phase de reconstruction pour apaiser ses émotions. Le type de suivi le plus adapté pour une telle souffrance est la psychanalyse. Elle permet d’aller chercher dans notre passé, ce qui nous handicape.➜ À partir de là, on pourra comprendre que nous ne sommes pas responsables de cette blessure de rejet. C’est un moyen de pardonner aux autres et de se pardonner pour avancer et vivre au mieux 🤗.L'avis de la rédaction ne pas se laisser envahirLa blessure de rejet peut créer une faille émotionnelle immense suivant notre type de personnalité et notre vécu. Si on ressent la moindre souffrance ou interrogation, il ne faut pas hésiter à consulter un thérapeute pour se faire aider et comprendre, afin de ne pas se laisser envahir par ce sentiment.🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant !BornToBeMeContacter un psychologueMais aussi Névrose abandonnique gérer le sentiment d’abandonSyndrome de Peter Pan bloqué dans l’enfanceSyndrome du sauveur que cache cette empathie démesurée ?Je me sens rejetée, d'où vient ce sentiment d'exclusion ?Source
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